Les régimes restrictifs ne créent pas la paix alimentaire. Ils créent le chaos.
On nous a longtemps fait croire que pour bien manger, il fallait se contrôler, se restreindre, se discipliner.
Que la solution passait par des règles, des interdits, des listes d’aliments permis et d’autres à éviter. Pourtant, ce que l’on observe sur le terrain, dans les corps, dans les comportements, dans les relations à la nourriture, raconte une tout autre histoire.
Les régimes restrictifs ne créent pas la paix alimentaire. Ils créent le chaos.
Ils ne réparent pas une relation fragile avec la nourriture… ils l’amplifient.
Lorsqu’une personne n’a pas une relation profondément saine avec l’alimentation, la restriction agit comme un déclencheur. Elle active la peur de manquer, la perte de contrôle, l’obsession.
Peu à peu, la nourriture cesse d’être un moyen de se nourrir pour devenir un objet de tension, de compensation, parfois même de survie émotionnelle.
Et ce phénomène ne touche pas uniquement les personnes qui cherchent à perdre du poids.
Des individus sans aucune intention de maigrir, soumis à des restrictions par leurs conditions de vie, leur travail ou des missions à l’étranger, développent eux aussi une relation compulsive à la nourriture. Dès que l’accès redevient possible, le corps et le cerveau réclament, accumulent, débordent.
La restriction ne crée pas la maîtrise. Elle crée la dépendance.
Les mécanismes biologiques et psychologiques derrière ce phénomène
Le corps humain n’a jamais été conçu pour vivre en restriction.
Sur le plan biologique, chaque période de privation est interprétée comme une menace à la survie. Peu importe qu’elle soit volontaire (un régime) ou imposée (conditions de vie, travail, accès limité à la nourriture), le message reçu par le cerveau est le même : il n’y a pas assez.
En réponse, le corps s’adapte.
Le métabolisme ralentit, les hormones de la faim augmentent, celles de la satiété diminuent. La nourriture prend alors une place disproportionnée dans l’espace mental. On y pense plus souvent, plus intensément.
Ce n’est pas un manque de volonté : c’est une réponse physiologique parfaitement normale.
Sur le plan psychologique, la restriction crée un phénomène de privation cognitive.
Plus un aliment est interdit, plus il devient désirable.
Le cerveau associe, alors, ces aliments à une récompense rare, précieuse, urgente.
Dès qu’ils redeviennent accessibles, un sentiment d’urgence s’installe : mange maintenant, avant que ça disparaisse. C’est ce mécanisme qui mène aux pertes de contrôle, aux compulsions et à la sensation de ne plus pouvoir s’arrêter.
Avec le temps, les signaux internes de faim et de satiété s’effacent. On ne mange plus en réponse à un besoin réel, mais en réaction à une peur inconsciente de manquer. La nourriture devient alors un refuge, une compensation, parfois même une obsession.
Ce n’est pas le corps qui trahit.
C’est le corps qui tente de protéger.
Les impacts à long terme des régimes restrictifs.
Les régimes restrictifs promettent souvent des résultats rapides.
Mais ce qu’ils laissent derrière eux est rarement évoqué.
À long terme, la restriction n’enseigne pas à manger… elle enseigne à se méfier de son corps.
Plus une personne multiplie les périodes de restriction, plus elle s’éloigne de ses signaux internes. La faim devient floue, la satiété incertaine, la confiance corporelle s’effrite. On ne sait plus quand manger, quoi manger, ni en quelle quantité. On mange selon des règles externes plutôt qu’en réponse à un besoin réel.
Avec le temps, cette déconnexion favorise un cycle bien connu : restriction, perte de contrôle, culpabilité, puis retour à une nouvelle restriction.
Ce cycle fragilise l’estime de soi, renforce le sentiment d’échec personnel et installe l’idée erronée que le problème vient d’un manque de discipline.
Sur le plan physique, les régimes répétitifs augmentent le risque de prise de poids. Le corps, ayant appris qu’il peut manquer, devient plus efficace pour stocker. Chaque tentative suivante devient plus difficile, plus épuisante, plus décourageante.
Mais l’impact le plus profond est souvent invisible : la nourriture devient une source d’anxiété constante. Elle n’est plus neutre. Elle est chargée d’émotions, de règles, de peurs et de jugements.
Pourquoi la restriction renforce la dépendance au sucre
Le sucre occupe une place particulière dans ce cycle.
En période de restriction, le corps recherche instinctivement des sources d’énergie rapides. Le sucre devient alors une réponse biologique logique, pas une faiblesse.
Sur le plan neurochimique, le sucre stimule entre autres, la dopamine, l’hormone du plaisir et de la récompense. En contexte de privation, cette stimulation devient encore plus puissante.
Le cerveau apprend rapidement : le sucre apaise, le sucre réconforte, le sucre soulage.
Plus la restriction est sévère, plus le cerveau associe le sucre à une solution d’urgence.
C’est ainsi que se crée la dépendance.
Non pas parce que la personne est incapable de se contrôler, mais parce que son système nerveux cherche désespérément à rétablir un équilibre.
La restriction nourrit donc exactement ce que l’on tente d’éliminer. Elle renforce l’obsession, amplifie les envies et solidifie les associations émotionnelles avec les aliments sucrés.
Tant que la sécurité alimentaire intérieure n’est pas restaurée, le sucre continuera de jouer ce rôle de messager.
Il ne crie pas pour nuire. Il signale un manque : d’énergie, de douceur, de repos, de respect ou d’amour envers soi.
Comment sortir de ce cycle et reconstruire une relation apaisée avec la nourriture.
Sortir du cycle restriction–perte de contrôle–culpabilité ne passe pas par plus de règles, mais par plus de sécurité intérieure.
Tant que le corps et le cerveau craignent le manque, ils continueront de réclamer, d’accumuler et de compenser.
La première étape consiste à retirer la menace. Cela signifie manger suffisamment, et régulièrement. Redonner au corps la certitude qu’il ne sera plus privé. Ce n’est pas un abandon, c’est une réparation. Lorsque la sécurité alimentaire est restaurée, l’urgence diminue naturellement.
La deuxième étape est de réapprendre à écouter. La faim, la satiété, les envies véritables ne sont pas des ennemies à combattre, mais des informations à décoder. Une relation apaisée avec la nourriture se construit lorsque l’on cesse de juger ce que l’on ressent et que l’on commence à se questionner avec curiosité plutôt qu’avec rigidité.
Enfin, il est essentiel de sortir du langage de l’erreur, de l’échec et de la tricherie. Il n’y a pas de bons ou de mauvais aliments, seulement des choix qui répondent ou non à un besoin précis. Plus on neutralise la nourriture, plus elle perd son pouvoir émotionnel.
La liberté alimentaire ne naît pas du contrôle, mais de la confiance.
Le rôle de l’amour de soi et de la sécurité intérieure dans la liberté alimentaire.
Derrière la plupart des comportements alimentaires désorganisés se cache un même fil conducteur : le manque de douceur envers soi.
On se punit avec la restriction, on se récompense avec la nourriture, et on s’épuise dans ce va-et-vient constant.
Lorsque l’amour de soi est fragile, prendre soin de son corps peut être perçu comme une contrainte.
Marcher devient une obligation. Manger sainement devient une privation. Se reposer devient une perte de temps.
Et à l’inverse, la nourriture ultra transformée prend le rôle de réconfort rapide, accessible, prévisible.
Reconstruire une relation saine avec la nourriture demande donc un changement de posture intérieure.
Se demander non pas « qu’est-ce que je dois m’interdire ? », mais « de quoi ai-je réellement besoin en ce moment ? ».
Plus une personne se traite avec respect, plus elle fait des choix alignés, sans lutte.
La sécurité intérieure permet au corps de se détendre, au cerveau de s’apaiser, et à la nourriture de reprendre sa juste place : celle de nourrir, et non de combler un vide.
La véritable liberté alimentaire commence le jour où l’on cesse de se battre contre soi… pour enfin se choisir.
En conclusion
Sortir du cycle des régimes restrictifs, apaiser sa relation avec la nourriture et retrouver son Poids Bonheur ne demande pas plus de contrôle, mais plus de conscience, de sécurité intérieure et de respect de soi.
C’est exactement ce chemin que je vous propose d’emprunter.
Du 5 au 11 janvier prochain, j’animerai la Semaine Mon Poids Bonheur.
Une expérience 100 % gratuite, pensée pour vous aider à poser des bases solides, durables et alignées pour 2026.
Pendant cette semaine, nous serons en direct chaque jour pour décoder ensemble les mécanismes qui vous maintiennent prisonnière des régimes, de la culpabilité et de la lutte alimentaire.
Vous ne repartirez pas avec une liste d’interdits ou un plan alimentaire rigide, mais avec une compréhension profonde de votre fonctionnement, des outils concrets et surtout, votre propre plan d’actions 2026, construit à partir de qui vous êtes réellement.
Si vous sentez que 2026 mérite d’être différente… plus douce, plus stable et plus libre, je vous invite à vous joindre à nous.
Votre Poids Bonheur n’est pas un objectif à atteindre.
C’est une relation à transformer.
Si ce texte a résonné en vous, sachez que ce n’est pas un hasard.
Votre corps ne vous sabote pas, il vous parle… et il mérite d’être écouté avec douceur.
La Semaine Mon Poids Bonheur, du 5 au 11 janvier, est une invitation à vous offrir un nouveau départ, sans pression, sans culpabilité, et surtout, sans restriction.
Une semaine pour vous choisir, pour vous comprendre, et pour vous reconnecter à votre sagesse intérieure.
Si votre cœur vous dit que c’est le bon moment, je serai honorée de vous accueillir.
Inscrivez-vous ici :
Semaine Mon Poids Bonheur 2026 – Nathalie Tremblay
En attendant, prenez soin de vous… vous êtes déjà en chemin !
Nathalie Tremblay
Votre Coach Bonheur
S’aimer pour mincir… et non mincir pour s’aimer 💫


44 réflexions sur “Le désastre silencieux des régimes restrictifs”
Très beau texte !
Vraiment un beau partage cela me touche particulièrement, je l’ai partager à ma fille, elle vit une séparation dans le moment, et ton message va sûrement lui faire du bien!!
Merci beaucoup Nathalie pour ce partage❤️
Plus je lisais plus que mon cœur battait.J’aime lire les textes qui me font vibrer.MERCI BEAUCOUP
Oh un très beau texte à lire doucement, j’ai beaucoup aimé. Ça porte à sur beaucoup de points!
La citation « tu n’as pas à tout comprendre. Juste à continuer » C’est tellement parlant pour moi.
Merci Nathalie de nous envoyer des textes comme ça qui porte fruits!
Que ce texte est doux et comme il me fait du bien… Il me rappelle également d’être bienveillante avec moi… autant que je le suis avec les autres…
Merci Nathalie!
Merci beaucoup pour ce texte qui fait du bien. Un texte à conserver pour relire.
Merci beaucoup Nathalie ,c’est vraiment une belle réflexion c’est un beau texte .
Pour moi c’a va quand même assez bien aujourd’hui , dans ma démarche pour prendre
soins de mon poids bonheur.
mon grand défi est au travail .que c’a se passe avec une gestionnaire pas facile .
Merci beaucoup d’être dans ma vie et sur ma route . pleins de gratitude a Toi Nathalie . Anne Dubé
Merci beaucoup Nathalie ,c’est vraiment une belle réflexion c’est un beau texte .
Pour moi c’a va quand même assez bien aujourd’hui , dans ma démarche pour prendre
soins de mon poids bonheur.
mon grand défi est au travail .que c’a se passe avec une gestionnaire pas facile .
Merci beaucoup d’être dans ma vie et sur ma route . pleins de gratitude a Toi Nathalie . Anne Dubé
Merci encore et encore pour toutes ces phrases, ces mots qui résonnent et font tant de bien et de réconfort.
Quel beau texte , ça me parle vraiment et me fait réfléchir. Oui il faut être ici et maintenant et c’est vrai que tout passe . Pas toujours assez rapidement comme on le souhaite mais oui ça passe. Merci encore.
Tout un texte … Tellement une belle réflexion !!! Merci d’être toujours là, à nous surprendre et à nous faire réfléchir d’une telle profondeur. MERCI à toi Nathalie.
Quel beau texte Nathalie cela me rejoins aujourd’hui dans tout les sphères de mon intérieur.
Merci c est un cadeau que tu envoie.
JOYEUSES FÊTES.🎄🎄🎄
Merci Nathalie pour ton très beau texte « Tout passe » qui m’aide à revenir au moment présent pour accueillir et vivre simplement ce qui se passe et ce, sans jugement.
J’ai réussi à m’arrêter pour me reposer (je dors mieux) et prendre de la distance avec ma mère avant de couler. Ça n’a vraiment pas été facile car ma mère et moi avons toujours été très, très, très proche, probablement trop. J’ai toujours été là pour ma famille, aidante à tous les niveaux, au point de m’oublier complètement. Aujourd’hui, je dois faire face à nouveau à la maladie d’Alzheimer avec ma mère et là, c’est de trop. C’est la goutte qui fait déborder le vase. J’ai beaucoup de difficulté à vivre ce deuil blanc qui, pour moi, est beaucoup plus difficile que le deuil vécu au décès de mon père puis de ma sœur. J’aurais préféré qu’elle parte avant que tout ça arrive. Ça aurait été dur, mais je m’en serais remise plus facilement. Là, c’est comme une descente sans fin.
Enfin, j’ai réussi à mettre des mots sur ce que je ressens, les émotions remontent et c’est ok. Je prends des grandes respirations profondes pour accueillir ces émotions.
Encore mille fois merci Nathalie pour ton magnifique texte que je relis et relirai pour ne plus m’abandonner. 🥰
Merci Nathalie, TENDRESSE ! C’est inspirant et apaisant de lire ce texte, ça fait du bien à l’âme et donne espoir ! Namasté!
Merci Nathalie comme tu me fais un bien énorme. Merci d’être dans ma vie.
Quel beau texte Nathalie ! A garder et relire précieusement souvent. De belles prises de conscience. C’est vrai qu’il faut réfléchir et se remettre en question; Une phrase me vient en tête : Vingt fois sur le métier, remettez votre ouvrage et le polissez et repolissez (Boileau)
Bonjour Nathalie je viens de lire votre message et je dirais qu’il me parle j’ai 81 ans et depuis 7mois je vis énormément d’émotions et cela m’amène à consommer beaucoup de sucres,se qui m’amène à avoir des problèmes avec mon intestin.Alors je crois que le mieux serait de faire une démarche avec votre programme.Merci de me lire
Merci pour cette belle prise de conscience.
Ce matin je t’ai lu et envoyer mes constatations mais pour une raison inconnu ça ne s’est pas enregistrer. En après midi j’ai imprimer ton article que j’ai relu et je dois t’avouer que tout au long de ma vie je n’aie eu aucun souci de poids. Dans tous mes emplois j’y vivais une grande passion , un don de soi, le stresse était un moteur de stimulation, sans compter mes heures. J’en ai toujours retirer de grandes satisfactions du travail accompli parce que je pouvais me rendre utile, me dépasser, progresser et on reconnaissait mes efforts. J’avouais ouvertement que le jour ou je ne m’amuserais plus je prendrais ma retraite. Et BANG, la retraite est arrivée, le quotidien s’est installé lentement en faisant du bénévolat mais la covid est arrivée et le moral était au plus bas parce que j’avais perdu toutes mes émotions stimulantes et passionnantes qui faisaient de moi une personne appréciée. Aujourd’hui je me rends compte que j’ai besoin de retrouver cette stimulation et satisfaction intérieur pour être une femme accompli, qui a beaucoup à donner. C’est la femme que j’aime, je veux la retrouver et mettre tous mes efforts pour y arriver!
Merci pour ta grande générosité d’informations afin de nous aider à trouver nos pistes de solutions pour être LA PERSONNE EN DEVENIR.
Wow je viens de prendre conscience mon besoin de rire, de m’amuser, d’amour, communiquer , d’éprouver de la satisfaction, mon besoin d’apaisement..Tout cela je le vivais dans mon travail et social. Il était motivant, stimulant avec de nouveaux défis, un dépassement, une croissance sans fin. J’ai toujours dit à mon employeur: le jour où je ne m’amuserai plus je partirai chez moi. Bang s’était déjà là à 67 ans, je réalise que j’ai besoin de cette passion, me sentir utile, me dépasser, me sentir vivante quoi! Je dois retrouver cette passion , une nouvelle orientation de ma vie pour avoir moins de carence dans mes besoins émotionnels. Merci pour prise de conscience , ça me stimule beaucoup! À suivre….
C ‘est vraiment t un texte stimulant et encourageant. On saisit maintenant le pouvoir du sucre et le moyen d’y résister. Merci beaucoup ma belle Nathalie, tu me fais progresser librement de tout régime.
Merci Nathalie
Je vais pourvoir le lire et bien assimiler je trouver trop géniale ce contenu .
Merci Nathalie, une nouvelle piste pour mediter .
Merci Nathalie,
Le Nevrosisme
Cela fait du bien de voir où je peux me situer
Tout ce que tu décris est tellement vrai , je suis dans la sensibilité en ce moment , l incertitudes ma force est présente , le sucre peu être un moment échappatoire c est vrai , je dois y mettre du calme intérieur , mes activités me manques, mais mes marches de certains jours le long de la mer me font du bien …. Mon homme me tire par moment vers le bas , je dois me préserver je le sais . Effacer mes incertitudes
Mes peurs 😌🌸et surtout garder ma joie mon espoir .
Milles mercis à toi de tout ce que tu nous partage durant l été .
Je les lis et essaie de me comprendre .
Gratitude et tendresse
Merci beaucoup 🙏
Ton aide, celle de Claudine et des gens qui vous suivent me sont précieuses.
J’apprends à chaque jours et je suis reconnaissante 🤓.
Merci 💙 ça fait du bien de lire ça
Cela prends tout son sens
Merci Nathalie très bon et beau text , cela fait toujours du bien d’avoir des messages de toi
Oui ça fait toujours réfléchir et c’est vraiment agréable de te savoir là au besoin.
Merci milles fois 🌹♥️
Ton article tombe à point! Merci beaucoup Nathalie!!!! 💖
Merci beaucoup pour cette belle lecture Nathalie j’en avais de besoin❤️🫶
Merci Nathalie, je garde précieusement et reli tous tes textes,ça me fait tellement de bien..💥
Merci beaucoup !!
Merci tellement!!!
Merci beaucoup Nathalie pour ce texte il fait vraiment réfléchir tu es un Amour ❤️❤️❤️
Merci ma belle Linda!!
Merci beaucoup d être près de nous.
Tout ces enseignements sont magiques et nous font prendre conscience de ce que nous pouvons mettre en place vers un mode de vie meilleur .
Bonjour chère coach, ton texte me parle beaucoup aujourd’hui. Merci
Merci ma chère Denise!
Merci beaucoup Nathalie🙏🙏❤️, ça me parle tellement !
Ca me parle ta réflexion ce matin :´l’aloudissement de l’environnement Un temps d’arret Je m’y attarde et je constate que j’ai du menage a faire Merci Nathalie
Toujours très pertinent les textes de Nathalie merci
Que de chemin parcouru ! Ces vacances ci je n’ai pas eu envie de mettre le chocolat dans les bagages, la glace dans la liste de courses, la bière ou l’apéro pour commencer la soirée…
Cette année, pendant ces vacances, je sors du repas à rallonge: entrée, plat , fromage, dessert… et je me sens plutôt bien.
Merci beaucoup Nathalie ! Très intéressant 😘
Ça fait du bien ces enseignements
Merci d’être dans mon univers 💙