Découvre ce que ton corps cherche vraiment derrière chaque bouchée sucrée. Et surtout, comment répondre à ces besoins, loin du sucre.
Tu crois avoir une dent sucrée ?
Être « trop gourmande » ?
Manquer de volonté quand l’appel du chocolat ou des biscuits devient trop fort ?
En réalité, ce n’est pas de sucre dont ton corps a besoin.
Ce que tu recherches à travers chaque bouchée, ce sont des hormones.
Oui, ces messagers chimiques qui gouvernent nos émotions, notre énergie, notre plaisir.
Le sucre agit comme un raccourci.
En quelques secondes, il déclenche une vague de dopamine, de sérotonine, d’endorphines et même d’ocytocine… un peu comme une bouffée de bonheur instantané.
Mais cette vague est de courte durée, et laisse presque toujours derrière elle un creux encore plus profond : fatigue, culpabilité, honte, envie de recommencer.
Alors la vraie question n’est pas : « Comment arrêter le sucre ? »
Mais plutôt : « De quoi ai-je vraiment besoin que le sucre m’apporte ? »
Et surtout : « Comment puis-je générer ces mêmes hormones autrement, de façon douce, naturelle et durable pour m’éloigner du sucre plus facilement ? »
Le sucre : un dopant hormonal rapide… mais trompeur
Derrière chaque envie de sucre, il y a un message chimique.
Ton corps ne réclame pas du sucre pour du sucre.
Il réclame la décharge hormonale qu’il déclenche en toi.
Chaque bouchée agit comme un interrupteur :
- La dopamine – la molécule du plaisir et de la récompense. Le sucre te donne un petit « shoot » de satisfaction immédiate, comme si tu avais accompli quelque chose.
- La sérotonine – l’hormone de la sérénité. Le sucre te calme, t’apaise, te donne un sentiment de confort, surtout dans les moments de stress ou de fatigue.
- Les endorphines – tes antidouleurs naturels. Le sucre t’offre une mini-évasion, une sensation de bien-être qui anesthésie temporairement l’inconfort physique ou émotionnel.
- L’ocytocine – l’hormone de l’attachement, du lien, de la confiance et de la sécurité.
*L’ocytocine n’est pas sécrétée directement par le sucre… mais attention ! Certains aliments sucrés sont associés à des moments de tendresse, d’amour ou de nostalgie : le gâteau de grand-maman, le chocolat reçu à la Saint-Valentin, les biscuits du dimanche, le verre de vin du vendredi soir…
👉 Résultat ? Le sucre devient un lien émotionnel, un substitut de réconfort.
Ton corps cherche des repères, de l’apaisement, du lien… et le sucre devient un allié temporaire.
Mais à long terme, il trahit : il aggrave les symptômes qu’il semblait soulager.
En quelques secondes, ton humeur change, ton énergie se redresse, tu te sens « mieux ».
Mais ce mieux est artificiel et temporaire.
Car après la montée… vient la descente…
La glycémie chute, ton humeur retombe, ta fatigue revient plus forte, et souvent la culpabilité s’installe.
Alors, ton cerveau, qui a adoré la première vague hormonale, te pousse à recommencer.
C’est ce cycle qui crée l’illusion d’une dépendance au sucre.
Mais en vérité, ce n’est pas le sucre dont tu es dépendante… c’est la chimie du bien-être qu’il déclenche en toi.
Le vrai besoin derrière l’élan sucré
L’envie de sucre n’est jamais un hasard.
Elle n’arrive pas seulement parce que tu es “gourmande” ou que tu manques de volonté.
En réalité, chaque élan vers le sucre est un signal que ton corps et ton cœur t’envoient.
Derrière ce morceau de chocolat, cette pâtisserie ou ce verre de vin, il y a souvent un besoin bien plus profond :
- Besoin de réconfort : après une journée difficile, le sucre vient te donner l’illusion d’un câlin intérieur.
- Besoin de douceur : quand tu es fatiguée, tendue ou irritable, il agit comme une caresse rapide, même si elle est éphémère.
- Besoin d’énergie : quand ton corps est épuisé, ton cerveau réclame du carburant facile et rapide, et le sucre devient son raccourci favori.
- Besoin de reconnaissance ou de récompense : le fameux “je le mérite bien !” après un effort ou une tâche accomplie.
- Besoin de lien ou de sécurité : un dessert partagé, un souvenir d’enfance, un goût qui te rattache à une mémoire affective.
Le sucre, dans ces moments, n’est pas l’ennemi.
Il est le messager.
Il te dit : « Tu as besoin de quelque chose. Tu cherches du calme, de l’attention, de l’amour, une pause, une respiration. »
Mais comme il agit vite, il devient ton réflexe automatique.
Et c’est là que le piège se referme : en répondant toujours par le sucre, tu coupes l’accès à d’autres manières, plus nourrissantes, de prendre soin de toi.
👉 La vraie transformation commence donc par cette question simple :
Qu’est-ce que je recherche vraiment, au fond, quand j’ai envie de sucre ?
Reprendre le pouvoir sans bannir le sucre
La solution n’est pas de bannir le sucre à jamais, ni de se battre contre lui.
Car plus on interdit, plus on crée de frustration, et plus l’obsession grandit.
La clé, c’est de remettre le sucre à sa juste place : un aliment parmi d’autres, et non pas un refuge exclusif.
Et surtout, d’apprendre à générer autrement les hormones que ton corps réclame.
Quelques pistes toutes simples :
- Pour la dopamine (plaisir, motivation)
Célèbre tes petites victoires du quotidien, danse sur ta chanson préférée, écris une liste de gratitudes ou accomplis une petite action créative. - Pour la sérotonine (calme, sérénité)
Expose-toi à la lumière naturelle, pratique la respiration consciente, accorde-toi un moment de nature ou de méditation douce. - Pour les endorphines (évasion, apaisement)
Bouge ton corps avec plaisir (marche, danse, yoga), ris avec quelqu’un, écoute de la musique qui t’élève. - Pour l’ocytocine (lien, sécurité affective)
Prends dans tes bras quelqu’un que tu aimes, partage un moment de connexion sincère, ou entoure-toi de personnes qui t’apportent chaleur et bienveillance, caresse ton animal de compagnie.
Le sucre n’est pas ton ennemi.
C’est un raccourci que tu as appris à emprunter plusieurs fois… mais tu as d’autres chemins.
Des chemins plus doux, plus durables, plus respectueux de qui tu es.
La liberté, ce n’est pas de ne jamais manger de sucre.
C’est de savoir que tu peux en profiter sans qu’il prenne le contrôle.
C’est de ne plus dépendre de lui pour combler tes manques ou calmer tes blessures.
Reprendre ton pouvoir, c’est te donner à toi-même ce que tu cherchais désespérément dans le sucre.
Le premier pas vers ta liberté
Tu l’as vu, ton rapport au sucre n’est pas une question de volonté… mais une question d’écoute, de besoins, et de sécurité intérieure.
Et bonne nouvelle : ça s’apprend. Ça se transforme. Ça se vit.
C’est exactement ce que je te propose dans mon Défi 4 jours sans sucre, qui débute le 9 septembre.
Pendant 4 jours, nous allons explorer ensemble ta relation au sucre d’une façon nouvelle, bienveillante et libératrice.
En seulement quelques jours, tu découvriras à quel point les prises de conscience peuvent devenir un véritable levier de transformation pour la suite de ton chemin.
Pas de privation. Pas de culpabilité. Pas de règles impossibles.
Juste une expérience concrète, entourée et guidée, pour t’aider à remettre le sucre à sa place… et toi, à retrouver la tienne.
Ton corps ne t’a jamais trahie. Il a juste besoin de toi, différemment.
Et ce défi est le premier pas pour lui offrir enfin la liberté qu’il attend depuis si longtemps.
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Nathalie, Ta Coach Bonheur💙
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sans sucre est confirmée.
10 réflexions sur “Les 4 hormones qui influencent notre relation au sucre”
Merci Nathalie, je garde précieusement et reli tous tes textes,ça me fait tellement de bien..💥
Merci beaucoup !!
Merci tellement!!!
Merci beaucoup Nathalie pour ce texte il fait vraiment réfléchir tu es un Amour ❤️❤️❤️
Merci ma belle Linda!!
Bonjour chère coach, ton texte me parle beaucoup aujourd’hui. Merci
Merci ma chère Denise!
Merci beaucoup Nathalie ! Très intéressant 😘
Ça fait du bien ces enseignements
Merci d’être dans mon univers 💙