Ton corps est un lieu sacré

Ton corps est un lieu sacré

 Et si la véritable transformation commençait le jour où tu rentres enfin à la maison, en toi…

 

Il y a des lieux que l’on respecte instinctivement.


Des lieux où l’on parle plus doucement.
Où l’on enlève ses chaussures.
Où l’on marche avec présence.

 

Et si ton corps était l’un de ces lieux?

 

Depuis trop longtemps, on t’a appris à le corriger, le contrôler, le réparer.
À le pousser, à le restreindre, à le juger.
Comme s’il était un problème à régler plutôt qu’un espace à honorer.

 

Pourtant, ton corps n’a jamais cessé de t’accueillir.

Il a porté tes silences, tes fatigues, tes émotions.

Il t’a protégée quand tu n’avais pas les mots.

Il t’a soutenue quand tu n’avais plus l’énergie.

 

Peut-être que ce que tu appelles « excès », « poids », « comportements alimentaires »
n’est pas un échec…
mais une tentative de rentrer à la maison.

 

Une façon de te rassurer.
De t’ancrer.
De te sentir en sécurité, ne serait-ce qu’un instant.

 

Et si la transformation ne passait pas par plus d’efforts,
mais par un retour?


Un retour vers toi.
Vers ce lieu sacré que tu habites depuis toujours,
sans toujours oser y entrer.

 

Quand on ne se sent plus « chez soi » intérieurement

 

Il arrive un moment, souvent imperceptible, où l’on cesse d’habiter pleinement son espace intérieur.


Ce n’est pas un départ brusque.
C’est un glissement lent.

On s’éloigne de ses ressentis.
On étouffe certaines émotions.


On apprend à tenir, à fonctionner, à avancer malgré soi.

Peu à peu, le corps devient un lieu que l’on traverse sans vraiment s’y déposer.
Un endroit que l’on juge, que l’on exige, que l’on corrige.
On n’y entre plus avec douceur… on y survit.

Quand on ne se sent plus « chez soi » à l’intérieur, quelque chose cherche naturellement à recréer ce sentiment de sécurité.


Et la nourriture devient alors une porte d’entrée accessible.


Un refuge temporaire.
Un moyen rapide de s’ancrer, de s’apaiser, de se rassembler.

Manger ne sert plus seulement à nourrir le corps.


Cela devient une façon de se contenir.
De calmer le système nerveux.
De remplir un espace qui appelle à être habité.

 

Ce n’est pas un manque de volonté.
Ce n’est pas un défaut.
C’est une intelligence adaptative.

 

Le corps ne fait que tenter de recréer un « chez soi » là où il ne le ressent plus.

 

Et tant que ce besoin fondamental n’est pas reconnu, honoré et comblé autrement,
la nourriture continuera de jouer ce rôle sacré de refuge.

 

Non pas parce que quelque chose ne va pas chez toi…
mais parce que ton être cherche, profondément, à rentrer à la maison.

 

Comment la nourriture devient un refuge sacré

 

Quand le monde intérieur devient bruyant, instable ou trop exigeant, l’être humain cherche instinctivement un lieu où se déposer.
Un espace où le rythme ralentit.
Où la tension tombe, ne serait-ce que pour quelques instants.

 

La nourriture devient alors bien plus qu’un carburant.
Elle devient un geste sacré.

 

Un moment de pause.
Une chaleur familière.
Un contact avec le présent.

Dans l’acte de manger, il y a un rituel profond.
On s’arrête.
On se pose.
On s’ancre dans le corps.
On se reconnecte aux sensations.

 

Lorsque la sécurité intérieure manque, ce rituel prend une place centrale.
Non pas par faiblesse, mais par sagesse adaptative.
Le corps sait que manger calme le système nerveux, stimule le plaisir, ramène ici et maintenant.

 

Ce n’est pas la nourriture qui est en cause.
C’est le rôle qu’elle a été appelée à jouer.

Elle devient un refuge parce qu’elle est fiable.
Accessible.
Prévisible.

Et surtout… parce qu’elle ne juge pas.

Là où l’on se sent parfois dure avec soi, la nourriture offre une forme d’accueil silencieux.


Elle enveloppe.
Elle rassure.
Elle apaise.

 

Mais lorsque ce refuge devient le seul endroit où l’on se sent en sécurité, le corps porte un fardeau qui n’est pas le sien. Il prend sur lui le rôle de protéger l’âme.

 

Comprendre cela change tout.
Cela transforme la lutte en reconnaissance.
La culpabilité en compassion.

 

Car derrière chaque geste alimentaire se cache un besoin profond :
celui de se sentir chez soi, en sécurité, dans son propre corps.

 

Comment réhabiter son corps avec douceur et conscience

 

Réhabiter son corps ne demande pas de changer qui l’on est.


Cela demande de revenir.

Revenir à l’intérieur.
Revenir à ses sensations.
Revenir à cette maison que l’on n’a jamais vraiment quittée, mais que l’on a parfois cessé d’habiter.

Cela commence par de petits gestes presque invisibles.


Ralentir.
Respirer plus profondément.
Se demander, sans jugement

« Comment je me sens, là, maintenant? »

 

Réhabiter son corps, c’est cesser de l’utiliser comme un outil à contrôler pour en faire un espace à écouter.


C’est reconnaître ses signaux, même les plus subtils.
La fatigue.
La tension.
Le besoin de douceur.

 

Il n’est pas nécessaire de forcer le changement.
Le corps n’entre pas dans la transformation par la contrainte.
Il s’ouvre lorsqu’il se sent respecté.

 

Chaque fois que tu choisis de manger avec présence plutôt qu’en urgence,
chaque fois que tu te reposes sans te justifier,
chaque fois que tu bouges par amour plutôt que par punition,
tu poses un acte de réconciliation.

 

Peu à peu, le corps comprend qu’il est enfin accueilli. Que la maison est sûre. Que l’on peut s’y déposer sans se défendre.

 

Et lorsque l’on se sent réellement chez soi à l’intérieur,
la nourriture n’a plus besoin de porter ce rôle de refuge principal.


Elle redevient ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être :
un soutien, une joie, un geste de soin.

Réhabiter son corps, ce n’est pas atteindre un idéal.


C’est se retrouver.

 

Ce qui change quand on se sent enfin chez soi

 

Quand on se sent enfin chez soi à l’intérieur, quelque chose se dépose.


La vigilance tombe.
Le corps n’est plus en état d’alerte.

Il n’a plus besoin de se protéger, de compenser, de retenir.
Il sait qu’il peut faire confiance.

 

Les choix deviennent plus simples, plus calmes.
Non pas parce qu’on se force,
mais parce qu’on n’est plus en fuite.

 

La nourriture perd sa charge émotionnelle.
Elle ne sert plus à anesthésier, à remplir, à rassurer.
Elle accompagne.
Elle soutient.
Elle nourrit, simplement.

 

Le rapport au corps se transforme lui aussi.


On cesse de le surveiller pour commencer à l’habiter.
On le regarde avec plus de tendresse.
On écoute ses besoins sans les minimiser.

 

Il y a moins de bruit mental.
Moins de négociations intérieures.
Moins de lutte.

 

Et surtout…
il y a plus de présence.

 

Se sentir chez soi, ce n’est pas être parfaite.
C’est être entière.


C’est s’autoriser à ressentir sans se corriger.
C’est vivre dans son corps plutôt que contre lui.

Quand cette sécurité intérieure s’installe,
le poids, quel qu’il soit, cesse d’être une urgence.
Il devient une information parmi d’autres,
et non plus le centre de l’existence.

 

Ce qui change, au fond,
ce n’est pas seulement la relation à la nourriture ou au corps.
C’est la relation à soi.

 

Et cette relation-là…
lorsqu’elle devient un lieu sûr, ouvre la porte à une transformation profonde et durable.

 

Une invitation à rentrer à la maison, ensemble

 

Ce chemin de retour à soi, tu n’as pas à le parcourir seule.
Et surtout, tu n’as pas à savoir exactement comment faire pour commencer.

Parfois, il suffit d’un espace sécuritaire.


D’une voix qui guide.
D’un rythme plus lent, plus humain.

 

C’est dans cet esprit qu’est née la Semaine Mon Poids Bonheur, qui aura lieu du 5 au 11 janvier.


Une semaine entièrement dédiée à ce retour à la maison intérieure.

Une semaine pour déposer les armes, ralentir et réapprendre à habiter son corps avec douceur et conscience.

 

Pendant ces sept jours, nous prendrons le temps.


Le temps d’écouter.
Le temps de comprendre.
Le temps de ressentir.

 

Il n’y aura rien à performer.
Rien à contrôler.
Rien à corriger.

 

Seulement des rencontres en direct, des enseignements, des prises de conscience et des invitations simples pour t’aider à créer plus de sécurité intérieure… et laisser ton corps reprendre naturellement sa juste place.

 

Si ces mots ont résonné en toi, c’est peut-être que ton être sait déjà.
Peut-être que le moment est venu de rentrer à la maison, accompagnée.

 

Et si ces mots résonnent, inscrits toi à la Semaine Mon Poids Bonheur, du 5 au 11 janvier, une expérience 

100 % gratuite pour t’aider à rentrer à la maison, accompagnée.

 

 Inscrivez-vous ici :  Semaine Mon Poids Bonheur 2026 – Nathalie Tremblay

 

Je serai honorée de t’accompagner dans ce retour à la maison,
pas à pas,
dans le respect de ton rythme et de ta vérité.

 

Parce que ton Poids Bonheur n’est pas un chiffre à atteindre,
mais une relation à transformer.

 

Nathalie Tremblay
Votre Coach Bonheur
S’aimer pour mincir… et non mincir pour s’aimer 

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40 réflexions sur “Ton corps est un lieu sacré”

  1. Gisele Côté

    Plus je lisais plus que mon cœur battait.J’aime lire les textes qui me font vibrer.MERCI BEAUCOUP

  2. Marie-Ange Cyr

    Oh un très beau texte à lire doucement, j’ai beaucoup aimé. Ça porte à sur beaucoup de points!
    La citation «  tu n’as pas à tout comprendre. Juste à continuer » C’est tellement parlant pour moi.
    Merci Nathalie de nous envoyer des textes comme ça qui porte fruits!

  3. Marie-Claude Brûlé

    Que ce texte est doux et comme il me fait du bien… Il me rappelle également d’être bienveillante avec moi… autant que je le suis avec les autres…

    Merci Nathalie!

  4. Merci beaucoup Nathalie ,c’est vraiment une belle réflexion c’est un beau texte .

    Pour moi c’a va quand même assez bien aujourd’hui , dans ma démarche pour prendre

    soins de mon poids bonheur.

    mon grand défi est au travail .que c’a se passe avec une gestionnaire pas facile .

    Merci beaucoup d’être dans ma vie et sur ma route . pleins de gratitude a Toi Nathalie . Anne Dubé

  5. Marie-Josée Sarrat

    Merci encore et encore pour toutes ces phrases, ces mots qui résonnent et font tant de bien et de réconfort.

  6. Doris Neault

    Quel beau texte , ça me parle vraiment et me fait réfléchir. Oui il faut être ici et maintenant et c’est vrai que tout passe . Pas toujours assez rapidement comme on le souhaite mais oui ça passe. Merci encore.

  7. Monique Boucher

    Tout un texte … Tellement une belle réflexion !!! Merci d’être toujours là, à nous surprendre et à nous faire réfléchir d’une telle profondeur. MERCI à toi Nathalie.

  8. Quel beau texte Nathalie cela me rejoins aujourd’hui dans tout les sphères de mon intérieur.
    Merci c est un cadeau que tu envoie.
    JOYEUSES FÊTES.🎄🎄🎄

  9. Annie Rousseau

    Merci Nathalie pour ton très beau texte « Tout passe » qui m’aide à revenir au moment présent pour accueillir et vivre simplement ce qui se passe et ce, sans jugement.

    J’ai réussi à m’arrêter pour me reposer (je dors mieux) et prendre de la distance avec ma mère avant de couler. Ça n’a vraiment pas été facile car ma mère et moi avons toujours été très, très, très proche, probablement trop. J’ai toujours été là pour ma famille, aidante à tous les niveaux, au point de m’oublier complètement. Aujourd’hui, je dois faire face à nouveau à la maladie d’Alzheimer avec ma mère et là, c’est de trop. C’est la goutte qui fait déborder le vase. J’ai beaucoup de difficulté à vivre ce deuil blanc qui, pour moi, est beaucoup plus difficile que le deuil vécu au décès de mon père puis de ma sœur. J’aurais préféré qu’elle parte avant que tout ça arrive. Ça aurait été dur, mais je m’en serais remise plus facilement. Là, c’est comme une descente sans fin.

    Enfin, j’ai réussi à mettre des mots sur ce que je ressens, les émotions remontent et c’est ok. Je prends des grandes respirations profondes pour accueillir ces émotions.

    Encore mille fois merci Nathalie pour ton magnifique texte que je relis et relirai pour ne plus m’abandonner. 🥰

  10. Johanne Massicotte

    Merci Nathalie, TENDRESSE ! C’est inspirant et apaisant de lire ce texte, ça fait du bien à l’âme et donne espoir ! Namasté!

  11. Mahy Christiane

    Quel beau texte Nathalie ! A garder et relire précieusement souvent. De belles prises de conscience. C’est vrai qu’il faut réfléchir et se remettre en question; Une phrase me vient en tête : Vingt fois sur le métier, remettez votre ouvrage et le polissez et repolissez (Boileau)

  12. Diane Bougie

    Bonjour Nathalie je viens de lire votre message et je dirais qu’il me parle j’ai 81 ans et depuis 7mois je vis énormément d’émotions et cela m’amène à consommer beaucoup de sucres,se qui m’amène à avoir des problèmes avec mon intestin.Alors je crois que le mieux serait de faire une démarche avec votre programme.Merci de me lire

  13. Ce matin je t’ai lu et envoyer mes constatations mais pour une raison inconnu ça ne s’est pas enregistrer. En après midi j’ai imprimer ton article que j’ai relu et je dois t’avouer que tout au long de ma vie je n’aie eu aucun souci de poids. Dans tous mes emplois j’y vivais une grande passion , un don de soi, le stresse était un moteur de stimulation, sans compter mes heures. J’en ai toujours retirer de grandes satisfactions du travail accompli parce que je pouvais me rendre utile, me dépasser, progresser et on reconnaissait mes efforts. J’avouais ouvertement que le jour ou je ne m’amuserais plus je prendrais ma retraite. Et BANG, la retraite est arrivée, le quotidien s’est installé lentement en faisant du bénévolat mais la covid est arrivée et le moral était au plus bas parce que j’avais perdu toutes mes émotions stimulantes et passionnantes qui faisaient de moi une personne appréciée. Aujourd’hui je me rends compte que j’ai besoin de retrouver cette stimulation et satisfaction intérieur pour être une femme accompli, qui a beaucoup à donner. C’est la femme que j’aime, je veux la retrouver et mettre tous mes efforts pour y arriver!
    Merci pour ta grande générosité d’informations afin de nous aider à trouver nos pistes de solutions pour être LA PERSONNE EN DEVENIR.

  14. Huguette Harrisson

    Wow je viens de prendre conscience mon besoin de rire, de m’amuser, d’amour, communiquer , d’éprouver de la satisfaction, mon besoin d’apaisement..Tout cela je le vivais dans mon travail et social. Il était motivant, stimulant avec de nouveaux défis, un dépassement, une croissance sans fin. J’ai toujours dit à mon employeur: le jour où je ne m’amuserai plus je partirai chez moi. Bang s’était déjà là à 67 ans, je réalise que j’ai besoin de cette passion, me sentir utile, me dépasser, me sentir vivante quoi! Je dois retrouver cette passion , une nouvelle orientation de ma vie pour avoir moins de carence dans mes besoins émotionnels. Merci pour prise de conscience , ça me stimule beaucoup! À suivre….

  15. Lorraine Patterson

    C ‘est vraiment t un texte stimulant et encourageant. On saisit maintenant le pouvoir du sucre et le moyen d’y résister. Merci beaucoup ma belle Nathalie, tu me fais progresser librement de tout régime.

  16. Ghislaine Gigi Lefranc

    Merci Nathalie
    Je vais pourvoir le lire et bien assimiler je trouver trop géniale ce contenu .

  17. Lefranc ghislaine Gigi

    Merci Nathalie,
    Le Nevrosisme
    Cela fait du bien de voir où je peux me situer
    Tout ce que tu décris est tellement vrai , je suis dans la sensibilité en ce moment , l incertitudes ma force est présente , le sucre peu être un moment échappatoire c est vrai , je dois y mettre du calme intérieur , mes activités me manques, mais mes marches de certains jours le long de la mer me font du bien …. Mon homme me tire par moment vers le bas , je dois me préserver je le sais . Effacer mes incertitudes
    Mes peurs 😌🌸et surtout garder ma joie mon espoir .
    Milles mercis à toi de tout ce que tu nous partage durant l été .
    Je les lis et essaie de me comprendre .
    Gratitude et tendresse

  18. sylvie martel

    Merci beaucoup 🙏
    Ton aide, celle de Claudine et des gens qui vous suivent me sont précieuses.
    J’apprends à chaque jours et je suis reconnaissante 🤓.

  19. Marie Andrée Bégin

    Merci Nathalie, je garde précieusement et reli tous tes textes,ça me fait tellement de bien..💥

  20. Linda Laverdière

    Merci beaucoup Nathalie pour ce texte il fait vraiment réfléchir tu es un Amour ❤️❤️❤️

  21. Ghislaine Lefranc

    Merci beaucoup d être près de nous.
    Tout ces enseignements sont magiques et nous font prendre conscience de ce que nous pouvons mettre en place vers un mode de vie meilleur .

  22. Angele Mekkelholt

    Ca me parle ta réflexion ce matin :´l’aloudissement de l’environnement Un temps d’arret Je m’y attarde et je constate que j’ai du menage a faire Merci Nathalie

  23. Que de chemin parcouru ! Ces vacances ci je n’ai pas eu envie de mettre le chocolat dans les bagages, la glace dans la liste de courses, la bière ou l’apéro pour commencer la soirée…
    Cette année, pendant ces vacances, je sors du repas à rallonge: entrée, plat , fromage, dessert… et je me sens plutôt bien.

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